Comme tout au débout, la création de « Pour Un Bon Monde » a commencé avec un rêve. Aider ceux dans le besoin ; assembler les pièces d’un puzzle d’idées jusqu’à avoir une image, l’image d’Un Bon Monde. En ce monde les gens ont le droit à un travail et ont le droit à la santé, et ont le droit à l’amour, à avoir de l’aide quand nécessaire

Nous sommes unis pour ton but, parce que l’union fait la force, parce que ce qui t’émeut nous émeut. Il y avait un moteur, une motivation, mais la clé qui a allumé ce moteur c’était d’entendre ma mère me dire qu’une amie à elle était en train de perdre petit à petit la mobilité de son corps et bien tôt elle aurait perdu la capacité d’avaler la nourriture ni respirer et elle aurait fini par mourir, laissant ses trois enfants sans mère, il avait un traitement mais elle ne pouvait pas le payer.

Nous ne pouvons pas rester avec les bras croisés, c’était le moment d’agir, et quand on veut réussir on doit agir grandement, avec intensité et à l’instant, j’ai pensé à tous les cas similaires qu’il y avait. Dieu a assemblé les câbles et la lumière a été faite. Cette histoire vient de commencer et nous serions ravis que tu nous aides à écrire la suite.

Grâce à la contribution de certaines personnes et au fait que le cousin de ma mère nous a donné les cellules souches à prix coûtant, nous avons pu aider Noemí.

J’ai pensé à tous les cas similaires, des gens que je connais avec des maladies qui pourraient être mieux traitées.

Seuls 35 % des jeunes qui veulent étudier une carrière sont acceptés à l’UDG, il y a des enfants dans la rue qui travaillent au lieu d’aller à l’école. Dieu a joint les câbles et il y avait de la lumière. Cette histoire vient de commencer et nous serions ravis de votre aide pour écrire la suite.